Repas de Noël, les clichés

Le repas de Noël est une très grande occasion pour que la famille se réunisse autour d’une table. Beaucoup se réjouissent à l’idée des bonnes choses qui vont se présenter tout autour de la table. Mais il existe un archétype de repas de Noël que presque tout le monde suit chaque année.

L’incontournable dinde de Noël

À l’origine appelée par les Espagnols « Poules d’Inde » — car ils les croyaient, venir de là bas – et due à sa rareté de l’époque, la dinde ne fut dégustée qu’aux périodes festives et donc idéales pour le repas de Noël. Elle fut introduite au festin de Noël par l’empereur Charles VII. Comme d’antan qu’aujourd’hui, la dinde se cuisine toujours de la même façon, c’est-à-dire, farcie et rôtie. Il n’y a que la farce qui se différencie selon le pays.

Un peu de douceur dans les plats : La bûche de Noël

En souvenir des bûches brûlées lors des fêtes anciennes, la bûche de Noël est indispensable au repas de Noël. Au début, la bûche de Noël était un simple gâteau que les mères mettaient au chevet de leurs enfants. À base de pâte à biscuit génoise et parfumé au café ou au chocolat, elle se sert généralement enroulée et découpée en rondelles, avec de la crème au beurre. La présentation et la composition de la bûche de Noël varient selon les goûts et les pays.

Bûche_de_Noël-Pix

Entre traditions et symbolisme : Les treize desserts

Évoquant le nombre de convives lors de la Cène (repas pascal avant la crucifixion du Christ), les treize desserts est une tradition incontournable au repas de Noël. Servis juste après le grand souper, les treize desserts se composent exactement de treize mets : la fougasse ou la pompe à huile ; les raisins secs en hommage des. Dominicains ; Les figues des Franciscains ; Les amandes des. Carmélites ; Les noix symbolisant les Augustins ; des grappes de raisin ; le nougat blanc des pénitents blancs ; le nougat noir pour les pénitents noirs ; Les dattes ; des fruits exotiques ; du melon d’eau ; des oranges et enfin le nougat rouge.