Au dernier pointage de la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (FEVAD), la progression des ventes sur les places du marché ralentit. Pourtant, celles effectuées sur les mobiles deviennent de plus en plus populaires. Zoom sur ce m-commerce.
Le saviez-vous ?
Le m-commerce ou le commerce mobile définit toutes transactions marchandes par le biais des technologies sans fil, plus précisément de la téléphonie mobile. Cette nouvelle méthode pour réaliser des achats et des ventes se pratique à l’aide des téléphones, des Smartphones et des tablettes. Elle regroupe également les ventes de contenus mobiles et toutes les applications commerciales issues des terminaux mobiles. Vu l’augmentation du nombre de Smartphones, ce segment de marché de l’e-commerce offre une notion de mobilité très forte. Dans les années à venir, il devrait connaître des hausses magistrales.
Les avantages du m-commerce
Grâce au mobile commerce, l’achat ou la vente d’un produit, d’un service ou d’une information via son téléphone portable, Son Smartphone ou sa tablette est désormais possible. De ce fait, les e-commerçants possèdent un support de vente supplémentaire et les promotions seront mieux ciblées (comportement, géolocalisation). Le m-commerce est également un moyen permettant aux entreprises de diffuser en temps réel les nouvelles, véhiculer leur message et rehausser la liquidation de leurs articles. Présente dans la plupart des secteurs d’activité, cette technique favorise l’interaction instantanée et augmente la satisfaction client.
Le m-commerce en France
D’après une étude publiée par RetailMeNot, sur les tendances du m-commerce en Europe, le chiffre d’affaires des e-commerçants français a augmenté jusqu’à 36,5 milliards en 2015. D’ailleurs, cette hausse met la France à la troisième place après le Royaume-Uni et l’Allemagne. Grâce à la simplicité du paiement par Smartphone, le m-commerce prend de plus en plus d’importance. Aujourd’hui, 43 % des Français ont déjà effectué une transaction commerciale via leur terminal mobile, tandis que 31 % l’ont fait sur leur tablette.